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Nuremberg : le procès qui manque à Big Pharma

💥 Big Pharma : plus de morts qu’une guerre, plus d’argent qu’un État.


Introduction : Plus jamais ça ?

En 1945, l’humanité jurait : « plus jamais ça ».

Plus jamais d’expérimentations médicales forcées.

Plus jamais de médecins transformés en bourreaux.

Plus jamais de science prostituée au pouvoir.

Soixante-dix ans plus tard, que voyons-nous ?

Des multinationales qui se parent de blouses blanches, mais qui agissent comme le nouveau virus.

Elles ne soignent pas : elles corrompent, elles intoxiquent, elles zombifient.


1. Les chiffres du crime

👉 “Les amendes ne sont qu’un poste de dépense.”

Les scandales ne sont pas des accidents, ni des “ratés industriels”. Ce sont des méthodes répétées, planifiées, intégrées dans la mécanique du profit.

  • Pfizer : 2,3 milliards $ d’amende (2009) pour promotion illégale et corruption. En 2025, encore 60 millions $ pour avoir arrosé des médecins afin de pousser Nurtec ODT.
  • GlaxoSmithKline : 3 milliards $ (2012) pour fraude et manipulation de données.
  • Merck, Sanofi, Wyeth : 36 condamnations, plus de 10 milliards $ cumulés.
  • Crise des opioïdes (Purdue, Johnson & Johnson, etc.) : plus de 500 000 morts en 20 ans aux États-Unis. Cent fois plus que le 11 septembre.

Et malgré ces chiffres, rien ne change. Pourquoi ?

Parce que pour eux, une amende n’est qu’un budget parmi d’autres.


2. La machine de la corruption

👉 “Les médecins sont devenus des VRP de luxe.”

Le scandale n’est pas seulement dans les chiffres, mais dans le système huilé :

  • Les laboratoires truquent les données et achètent les régulateurs.
  • Les médecins sont transformés en commerciaux, séduits par séminaires sponsorisés, repas somptueux et cadeaux.
  • Les politiques encaissent le lobbying : plus de 4,7 milliards $ dépensés aux États-Unis entre 1999 et 2018.
  • Les médias vivent de la publicité pharmaceutique, et répètent les slogans comme des perroquets.

Résultat : tout le système devient complice.

Personne ne dit non. Tout le monde collabore.


3. La science achetée

👉 “Quand les journaux deviennent des supports publicitaires, qui reste pour dire la vérité ?”

On nous répète que la science est sacrée. Mais les grandes revues scientifiques ont prouvé qu’elles ne sont pas imperméables à l’argent.

  • En 2020, The Lancet et NEJM publient l’étude Surgisphere sur l’hydroxychloroquine, basée sur de fausses données. Elles doivent rétracter. Trop tard : les décisions de santé publique avaient déjà été influencées.
  • Des “ghostwriters” rédigent en sous-main des articles “signés” par des chercheurs prestigieux.
  • Les revues vivent de la publicité des labos et sélectionnent des résultats “vendeurs”.

👉 Même les gardiens de la vérité médicale ont été achetés.


4. Le virus social

👉 “On tue plus sûrement par ordonnance que par épidémie.”

La logique n’est plus scientifique, elle est virale.

  • On soigne la douleur en semant la dépendance.
  • On protège la santé publique en détruisant la confiance.
  • On tue plus efficacement par pilule que par pandémie.

Et le pire : nous collaborons.

Comme jadis des administrations livraient des innocents aux bourreaux, aujourd’hui médecins, politiques et journalistes livrent les citoyens aux labos. Pas par peur. Par zèle.


5. L’Europe, technostructure corrompue

👉 “Ursula von der Leyen a négocié un contrat de 35 milliards €… par SMS.”

En France, la pyramide du pouvoir protège les élites.

Au sommet, l’Europe démultiplie le problème : une technostructure non élue, coupée des peuples, encore plus vulnérable à la corruption.

Exemple : Pfizergate.

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a négocié un contrat vaccinal de 35 milliards € directement avec Pfizer, par SMS.

Sans transparence. Sans contrôle. Une enquête pénale est en cours.

👉 Quand ceux qui représentent les peuples traitent en secret avec les labos, à qui reste la parole ?


6. Le cas Pfizer : un dossier d’accusation

  • Promotion illégale & fraude publicitaire (2009) → 2,3 milliards $ réglés.
  • Expérimentation mortelle au Nigéria (1996–2011) → procès Trovan, morts et handicaps, ~75 millions $ versés.
  • Off-label marketing (Neurontin, 2004) → suicides liés, 400 millions $ réglés.
  • Corruption internationale (2006) → pots-de-vin à des autorités en Europe de l’Est, 60 millions $.
  • Augmentation abusive des prix (UK, 2022) → +2600 % sur un antiépileptique, amende de 63 millions £.
  • Kickbacks & Nurtec ODT (2025) → 60 millions $ pour avoir acheté des prescriptions.
  • Pfizergate (UE, 2021) → contrat opaque de 35 milliards €, négocié hors cadre officiel.

👉 Si ce n’est pas un dossier d’accusation digne de Nuremberg, qu’est-ce que c’est ?


7. Le British Medical Journal (2025)

En juin 2025, le BMJ rapporte un règlement final de 7,4 milliards $ par Purdue Pharma et la famille Sackler, responsables de l’OxyContin.

Cet opioïde a provoqué environ 800 000 morts par overdose aux États-Unis depuis les années 1990.

👉 L’accord a évité toute condamnation pénale. Une amnistie en or massif.


Conclusion : un nouveau Nuremberg

Pfizer, GSK, Sanofi, Merck… Tous ont transformé la médecine en marché de la mort.

Ils ont institutionnalisé la corruption, banalisé les amendes, et intégré la souffrance humaine dans leur business plan.

👉 Ce ne sont pas des soignants. Ce sont des criminels en col blanc.

Il ne suffit pas de les “réguler”. Il faut les juger.

Comme à Nuremberg.

Il faut des procès.

Il faut des condamnations.

Il faut qu’ils remboursent les milliards volés.

Il faut qu’ils répondent des vies qu’ils ont détruites.


📊 Chiffres clés

  • 2,3 milliards $ : amende record Pfizer (2009).
  • 3 milliards $ : amende GSK (2012).
  • 10,5 milliards $ : amendes cumulées Merck, Sanofi, Wyeth.
  • 500 000 morts : crise des opioïdes (1999–2019).
  • 800 000 morts : overdose d’opioïdes aux USA depuis 1999.
  • 4,7 milliards $ : lobbying pharmaceutique aux États-Unis.
  • 35 milliards € : contrat vaccinal négocié par SMS (Pfizergate).