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Lettre à cette gauche méprisante

Chère gauche subventionnée,

Tu aimes parler au nom du peuple.

Mais tu ne lui parles plus vraiment.

Tu le juges. Tu l’insultes. Tu le traites de raciste, de beauf, de facho.

Et pourtant, c’est lui qui te nourrit.

C’est Nicolas, le contribuable, qui remplit tes caisses.

C’est lui qui finance tes syndicats, tes associations, tes budgets culturels.

C’est lui qui, par ses impôts, paie les micros depuis lesquels tu le méprises.

Quel paradoxe.

Tu craches sur la main qui te donne à manger.

Tu dis « merci » d’une main et tu gifles de l’autre.

Tu dis défendre le peuple, mais tu n’écoutes que tes slogans.

Tu dis combattre l’oppression, mais tu vis de l’argent de ceux que tu oppresses par ton mépris.

Tu dis aimer la diversité, mais tu refuses la plus simple de toutes : celle des opinions.

Alors écoute ceci :

Le peuple que tu insultes n’est pas ton ennemi.

Il est ton financeur.

Et sans lui, tu n’as plus de subventions, plus de tribune, plus de scène.

Un jour, il se lassera de payer pour être insulté.

Et ce jour-là, tu devras parler sans micro.

Et peut-être, enfin, écouter.